La situation politique en Haïti soulève des interrogations au sein de la Francophonie. Malgré le soutien officiel au calendrier électoral pour 2021, certains membres remettent en question la décision du président Moïse de prolonger son mandat. Cet article apporte des éclaircissements sur l'historique politique du pays pour dissiper les doutes.
L'Assemblée nationale française adopte en première lecture le projet de loi de programmation de l'aide publique française au développement (APD) dans le but d'accroître l'APD à 0,55% du revenu national brut d'ici la fin du quinquennat de M. Macron, tout en donnant la priorité à la lutte contre la pauvreté, la santé, le climat, l'éducation et l'égalité entre les sexes. La restructuration de l'aide publique française vise également à éviter le saupoudrage actuel et à se concentrer sur 19 pays prioritaires, dont 18 en Afrique subs
Le conseiller du Président Jovenel Moïse, Guichard Doré, salue la marche pacifique du peuple haïtien comme une expression démocratique, soulignant que cela démontre que le pays ne vit pas sous un régime dictatorial. Il rappelle également que le président a prêté serment en 2017 et termine son mandat en février 2022, tout en affirmant la volonté de l'administration de lutter contre l'insécurité et les kidnappings en renforçant les services de renseignements. Préparez-vous pour le référendum constitutionnel de juin et les élections à venir.
Le Président Moïse mobilise plusieurs institutions publiques pour lutter contre les kidnappings en contrôlant la circulation monétaire et en réclamant des preuves solides avant d'arrêter les coupables. De plus, il menace de révoquer la licence des propriétaires de ports qui ne rembourseraient pas les sommes détournées, en réponse aux inquiétudes de l'ambassade des États-Unis sur le manque de transparence fiscale à Haïti.
La manifestation en Haïti a réuni des milliers de personnes qui protestaient contre les kidnappings et l'insécurité, tandis que les organisateurs la qualifiaient de marée humaine contre la dictature. L'évasion de la prison de Port-au-Prince a causé la mort de 25 personnes, dont le directeur de l'établissement, et 400 détenus se sont échappés. La situation politique en Haïti suscite également des inquiétudes parmi les dirigeants des Caraïbes.
Le gouvernement haïtien a révoqué 3 magistrats pour avoir prétendument abandonné leur devoir de réserve, les remplaçant par de nouveaux juges. Le Président Jovenel Moïse invite les dirigeants de la Caraïbe à envoyer des représentants en Haïti pour évaluer la situation socio-politique du pays.
Découvrez les propos du coordonnateur du Conseil national de la société civile, Joseph Domingue Orgella, qui souligne que la violence ne résoudra pas la crise en Haïti et s'insurge contre les accusations de dictature portées contre le Président Jovenel Moïse. Malgré les difficultés, il affirme que le pays est en train d'apprendre la démocratie, avec la possibilité pour les gens de manifester et de s'exprimer librement.
Découvrez les dernières nouvelles sur le référendum constitutionnel en Haïti prévu pour le 27 juin. L'accord entre le bureau des Nations-Unies et le gouvernement a permis le déblocage d'un montant de 20 millions de dollars pour l'acquisition du matériel électoral, tandis que le président Jovenel Moïse a souligné l'importante majorité en faveur de l'organisation du référendum. Ne manquez pas les débats animés entre l'opposition et les diplomates occidentaux, ainsi que les améliorations de la sécurité dans le pays.
Le Conseil de sécurité de l'ONU s'est réuni pour discuter de la situation en Haïti, où le Président Jovenel Moïse a défendu la démocratie face à de nombreuses tentatives de perturbation de l'ordre constitutionnel. Les États-Unis et la France ont tous deux appelé à des élections rapides, tandis que le Président Moïse a encouragé les responsables politiques à se préparer pour la campagne électorale à venir.
Le Conseil de sécurité de l'ONU examine le rapport sur Haïti, suscitant l'opposition qui accuse le document de ne pas aborder les points négatifs et de soutenir le calendrier électoral du Président Moïse. Malgré le mécontentement, les opposants écrivent à la Présidente du Conseil pour demander un changement de cap, tandis que de nouvelles manifestations ont lieu dans le pays. Alors que l'opposition estime être plus proche que jamais de son objectif, la Primature soutient qu'il n'y a aucune chance d'élection pour le porte-parole de l'opposition, André Michel,
