Les funérailles du Président Jovenel Moïse sont le théâtre de manifestations violentes à Cap-Haïtien. Pendant ce temps, les Américains envoient un émissaire pour soutenir la stabilité et les efforts en vue d'élections libres, laissant planer des questions sur leur implication dans l'assassinat.
À la veille des funérailles du Président Jovenel Moïse, la classe politique haïtienne est dans l'expectative. Malgré les doutes suscités par ses anciennes amitiés politiques, le nouveau Premier ministre Ariel Henry s'engage à faire progresser l'enquête sur l'assassinat.
La Première dame exprime sa gratitude envers le peuple haïtien pour son soutien moral lors des funérailles du Président assassiné. Cependant, son refus de bénéficier du soutien financier du Trésor public est perçu à l'étranger comme un geste de défiance envers la classe politique, alimentant ainsi les tensions politiques en Haïti.
Selon des informations à Port-au-Prince, le Premier ministre Claude Joseph pourrait laisser sa place à Ariel Henry, tout en conservant son ministère des Affaires étrangères. Cependant, cette transition suscite des contestations de la part de l'opposition et remet en question le caractère consensuel du nouveau gouvernement, réclamé par les pays occidentaux. Les obsèques de Jovenel Moïse sont prévues vendredi, mais certains estiment qu'il aurait été plus judicieux d'organiser les funérailles avant d'envisager un changement de gouvernement afin de permettre des élections rapides à la fin du mois
Martine Moïse est de retour en Haïti après avoir reçu des soins en Floride suite à l'assassinat de son mari. Alors que les obsèques du Président sont prévues le 23 juillet, le Core Group encourage le Premier ministre désigné Ariel Henry à former son gouvernement, malgré les reproches de l'opposition et les questions entourant le rôle potentiel de proches de l'ancien Président dans cet acte tragique.
Découvrez les développements récents de l'enquête sur l'assassinat du président haïtien, impliquant des anciens militaires colombiens et des personnalités politiques influentes. Nous explorons également la tentative de désinformation visant le Premier ministre Claude Joseph, qui a rapidement été démentie. Restez informés sur cette affaire qui mêle suspens et intrigues politiques.
Des révélations choquantes surgissent lors de l'enquête sur l'assassinat du Président Jovenel Moïse, impliquant des personnalités politiques et des dirigeants d'entreprises de sécurité. Les Nations-Unies rendent hommage au Président tandis que la police recherche activement les responsables de cet acte tragique.
Le scandale de l'assassinat du Président Jovenel Moïse prend de l'ampleur avec de nouvelles révélations sur l'implication de personnalités influentes, telles que l'ancien sénateur John Joseph Joël et le sénateur Joseph Lambert. Pendant ce temps, la Première dame, blessée lors de l'attaque, reste hospitalisée en Floride, retardant ainsi la date des funérailles du défunt Président.
Découvrez les derniers développements de l'enquête sur l'assassinat du Président Jovenel Moïse en Haïti, avec l'interpellation d'un présumé cerveau de l'attaque et les soupçons de complicité de personnalités majeures. Les détails horribles de l'assassinat ont également été révélés, démontrant la violence extrême subie par la victime. Restez informé sur cette affaire en évolution.
La veuve du Président Jovenel Moïse, blessée lors de son assassinat, s'exprime pour la première fois depuis l'hôpital de Floride où elle se remet de ses blessures. Elle pointe du doigt les mercenaires responsables de la mort de son mari ainsi que ses adversaires, et affirme vouloir poursuivre le combat entamé par son époux.
Découvrez les derniers développements de l'enquête sur l'assassinat du Président Jovenel Moïse, avec des interrogations sur le niveau de professionnalisme des suspects et les personnalités potentiellement impliquées. De plus, le Premier ministre désigné, M. Henry, revendique son rôle de Premier ministre légitime, ce qui suscite des débats constitutionnels et renforce les spéculations sur ses liens avec des oligarques ou des opposants au Président Moïse. Ne manquez pas cette intrigue politique captivante.
Les réactions internationales sont unanimes après l'assassinat du Président Jovenel Moïse en Haïti. Le Premier ministre Claude Joseph a annoncé l'instauration de l'état de siège, comprenant le déploiement de l'armée pour assurer la sécurité publique, le contrôle des médias, un couvre-feu et des restrictions de certaines libertés, suscitant une mobilisation nationale et des interrogations sur les commanditaires de l'attaque.
Découvrez Ariel Henry, Premier ministre d'Haïti et neurochirurgien de renom. Ayant également une longue carrière politique, sa nomination au sein du gouvernement d'ouverture suscite des doutes et des défis quant à l'établissement d'un calendrier électoral consensuel.
Le Dr Ariel Henry, ancien neurochirurgien et nouveau Premier ministre d'Haïti, est confronté à des réactions mitigées après la décision du conseil des ministres d'accorder une décharge favorable à la quasi-totalité des ministres. Malgré cela, des interrogations persistent quant à la possibilité d'un gouvernement consensuel face à l'opposition qui semble rejeter tout débat et se concentrer sur les prochaines élections à venir dans moins de trois mois.
Découvrez les dernières nouvelles en Haïti, avec des mesures prises pour lutter contre la corruption et des révélations sur des détournements de fonds. De plus, l'ouragan Elsa a causé des destructions tragiques, laissant derrière lui un bilan de pertes humaines.
Une violente attaque en Haïti a suscité de nombreuses réactions, remettant en question la version officielle du chef de la police. L'ambassade américaine se dit préoccupée par la violence des gangs et appelle le gouvernement à agir, tandis que l'Organisation des États américains recommande la formation d'un nouveau gouvernement pour organiser des élections pacifiques.
Le Premier ministre réagit avec fermeté aux dernières violences des gangs à Port-au-Prince, condamnant ces actes abominables et la violence aveugle qui perturbent la population. Les autorités sont déterminées à identifier, poursuivre et sanctionner les auteurs de ces crimes, démontrant que ces affrontements entre gangs ne sont pas liés au pouvoir en place.
L'Organisation des États américains tient aujourd'hui un sommet virtuel pour discuter des recommandations visant à résoudre la crise en Haïti, notamment la nomination d'un nouveau Premier ministre de consensus et la reprise des élections dans un climat apaisé. Cependant, une grande partie de l'opposition s'oppose à cette démarche, ce qui suscite des craintes quant à l'aggravation de l'impasse politique dans le pays.
Le calendrier électoral est enfin fixé au 26 septembre et l'Organisation des États américains (OEA) appelle à la nomination d'un Premier ministre de consensus pour assurer des élections apaisées. Pendant ce temps, l'hôpital Médecins sans Frontières de Martissant dénonce les attaques armées et menace de fermer définitivement si aucune action n'est entreprise.
Le Premier ministre Claude Joseph met en place des mécanismes d'aide financière pour les personnes déplacées par la guerre des gangs à Port-au-Prince. Pendant ce temps, le gang 400 Mawozo a semé la violence dans la commune de Croix-des-Bouquets, provoquant des affrontements meurtriers.
La décision du juge de suspendre l'enquête sur l'affaire PetroCaribe suscite une vive condamnation de la part des plaignants, qui prévoient de faire appel. Cette ordonnance entraîne également la levée du gel des avoirs des entreprises soupçonnées, décidée par l'ULCC, tandis que la guerre des gangs continue de faire rage, avec l'ancien policier Jimmy Chérizier qui se présente comme chef de guerre et appelle à la révolution contre l'Exécutif, l'opposition et les oligarques qui, selon lui, dirigent le pays depuis 40 ans.
L'Unité de lutte contre la corruption gèle 260 millions de gourdes détournées par Réginald Boulos et ses associés, tandis que les banques risquent des poursuites en cas de non-respect de cette mesure. Les gangs armés continuent de semer le chaos en Haïti, visant particulièrement les quartiers favorables au Président Jovenel Moïse et tentant même de brûler des infrastructures publiques, laissant des milliers de déplacés en attente de retour chez eux.
La 47ème session du Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU a débuté avec une déclaration de la Haut-commissaire Michelle Bachelet, dénonçant les graves violations des droits de l'homme en Haïti, notamment les troubles politiques et l'insécurité croissante. Les autorités haïtiennes doivent garantir le droit de vote dans des conditions de sécurité et prendre des mesures urgentes pour protéger la population.
Le président Jovenel Moïse nie tout lien entre son pouvoir et les gangs, lors d'une conférence de presse visant à faire taire les rumeurs. Il demande à la Communauté internationale de soutenir les efforts contre le trafic d'armes en Haïti, tandis que le ministre en charge des élections se montre confiant quant à la tenue du référendum constitutionnel et des élections générales.
Le Premier ministre Claude Joseph se réjouit de l'appui du Conseil de sécurité de l'ONU pour l'organisation d'élections en Haïti avant la fin de l'année. De plus, la situation de l'insécurité à Port-au-Prince est au centre de ses préoccupations, notamment après l'assassinat du policier Limage Gasley, et il met en cause l'ancien policier Jimmy Cherisier, surnommé Barbecue, qui serait à la tête d'un gang.
